film

Mercredi 20 mai 3 20 /05 /Mai 14:57

 
Sans vouloir en aucune manière porter atteinte à la dignité du Peuple asiatique, il faut bien reconnaitre que les touffes de leurs dames sont reconnaissables entre mille!!
C'est celle de Linda Wong (déjà croisée dans "Femmes de Sade", "Babyface" ou encore "Stormy" au côté de John Holmes...) que j'ai choisi de mettre à l'honneur en ce samedi!

Vous allez donc suivre la belle et imprudente Linda dans un bon petit produit d'Exploitation qui, honnêtement, n'a de sadique que le titre!
Un savoureux cocktail d'aventure, d’exotisme, d'espionnage, et, évidemment, de nombreuses parties de "ça va, ça vient"!!
Les plus cinéphiles d'entre vous apprécieront sans doute le sympathique caméo de Larry Hankin ("L'évadé d'Alcatraz", "La nuit des juges", "Cheeseburger Film Sandwich", "Ratboy", ou encore "Coups pour coups"...).

Pour compléter ce vendredi débridé, le petit roman-photo de la semaine, dans lequel Linda se joindra à Jon Martin (également à l'affiche du film d'aujourd'hui!) pour vous dévoiler quelques prouesses buccales dont elle seule a le secret!

Je vous souhaite un bon film, et week-end ;)

 


SADISME ORIENTAL
AKA China de Sade / Partouzes spéciales pour jouisseuses hystériques
États-Unis / 1977
Réalisation : Charles Webb (comme Charles DeSantos)
Avec : Jewell Bryght, Paula Wain, Kristine Heller, Linda Wong, Tracy O'Neil, Jon Martin, Blair Harris, Mark Anthony, Peter Johns, Dale Meador, Richard Strong...



SI VOUS AVEZ MANQUÉ LE DÉBUT : "Les services secrets chargent le jeune et frétillant lieutenant Philip Weyland de retrouver la jolie Ming Li, disparue à Saïgon. Weyland découvre alors que l'imprudente chinoise est tombé dans les griffes lubriques du capitaine Krieg, ex-parachutiste reconverti dans le "sadisme à l'oriental". Le lieutenant Weyland plonge à son tour dans ce piège infernal..."


L’imprudente Ming Li...
Une copine de Frigga (cf En Grym Film)?
Qui c'est qui va nettoyer tout ça maintenant!?
Nan, je me retournerai pas!
Un méchant...
Le gentil lieutenant...
Le méchant capitaine...
Le gentil lieutenant, en mauvaise posture... (?)
Houdini n'a qu'à bien se tenir!
La méchante est "punie"...

LE ROMAN-PHOTO DE LA SEMAINE...




 

Par lesamedicestpermis - Publié dans : film
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Jeudi 30 avril 4 30 /04 /Avr 21:55


UN SAMEDI D'EXCEPTION!!


D'abord parce qu'il marque la suite d'une collaboration avec VALOR, son énorme... collection, et surtout son immense... générosité!!


Ensuite, parce que le film d'aujourd'hui est, à ma connaissance, introuvable (en VF j'entends) sur la toile, tout réseau de partage confondu!!

De plus, il est brillamment réalisé par quelqu'un d'atypique dans le porno, puisque Phillip Schuman, dont "Randy" est l'unique film X, est surtout connu pour son making-of des "Aventuriers de l'Arche Perdu", qu'il réalisera l'année suivante.


Enfin, outre les formes généreuses de Desiree Cousteau (que vous verrez également dans le magasine de la semaine!) dans le rôle titre, vous y retrouverez quelques visages connus (et d'autres choses!) qui ont déjà été mis à l'honneur ici-même, comme Jessie St James, Lori Blu ou Juliet Anderson (souvenez-vous, la blonde aux cheveux courts qui débuta sa carrière tardivement, et dont j'ai trouvé une photo d'elle toute jeunette!!) dans le rôle de la méchante!

 


Remercions une nouvelle fois VALOR pour ce partage de qualité!!!

BON WEEK-END A VOUS ;) 














RANDY
LA FILLE SURVOLTÉE
États-Unis / 1980
Réalisation : Phillip Schuman
Scénario : Phillip Schuman, Ben Van Meter, Norwood Pratt
Photographie : Ben Van Meter
Musique : Philip Gonzales
Avec :  Desiree Cousteau, Jessie St. James, Juliet Anderson, Roger Frazer, Lisa Rush, Gina D'Amato, Cyrus James, Arcadia Lake...
SI VOUS AVEZ MANQUÉ LE DÉBUT : " Randy est jeune. Randy est belle. Randy est fraîche. Randy est pétillante. Mais Randy est frigide, tout comme sa coloc Pam. Ensemble, elles intègrent la clinique du sexe de la peu rassurante directrice Pandreck. Lors d'un test effectué par le Docteur Harrison, Randy se découvre un sacré "don" : en pleine jouissance, son organisme sécrète un liquide étrange stimulant aussi bien son appétit sexuel que celui des autres. Cette substance, baptisée "Orgasmine", l'horrible Pandreck compte bien s'en emparer avec l'aide de son assistant Frank pour régir le monde..."



LA CHRONIQUE DE THROMA POUR PSYCHOVISION:
 
En pleine ère triomphale du hard américain (1972 à 82 pour situer approximativement), combiner le x avec un autre genre plus "présentable" était monnaie courante. Ainsi, Jonas Middleton et son "Femme ou démon" ou Zebedy Colt avec "Devil inside her" mixaient-ils avec brio horreur et hard en 76 tandis que des oeuvres comme "Sweet savage" en 79 et "A dirty western" en 75 donnaient (mal) dans le western ; ou encore le très fun "Girl from S.E.X." (Paul Vatelli - 81) qui louchait, quant à lui volontiers vers l'espionnage.




"Randy, la fille survoltée" de Phillip Schuman flirte lui, avec la science-fiction et le mélange s'opère plutôt bien, il faut le dire, même si l'aspect "anticipation" demeure assez limité. Outre le talent inhabituel caché (bien caché même) de Randy, il trouve principalement matière via le cadre très high-tech (toc) de l'institut Pandreck et l'omniprésence d'ordinateurs dernier cri et de machines abracadabranques mais aussi en la personne de Frank, le serviteur robotisé de la despote des lieux (il semble posséder une main mécanique que sa maîtresse aime glisser dans les endroits sensibles).
Le reste, c'est du pur hard avec figures et pratiques de rigueur : fellation, sodo, triollisme, broute-minou, etc. Rien de renversant et même pire : la délicieuse Desiree, intronisée pourtant vedette principale, dispose de très peu de scènes de cul et concentrées en plus principalement dans les vingt dernières minutes. Décevant et foutre dieu sait ce que la miss a du potentiel dans ce domaine. Ceux qui l'ont vu en action dans ses deux plus gros classiques "Getting off" et "Pretty Peaches" (où elle s'autorise comme ça sans prévenir un "relâchement" à l'horizontal des soupapes internes après avoir subi un lavement par une parodie de médecin) savent de quoi que j'veux causer.




Et pourtant, "Randy, la fille survoltée" vaut assurément le détour, ne serait-ce que pour trois séquences des plus cocasses. La première n'est autre que celle de la découverte de l'Orgasmine où Phillip Schuman traduit la montée du plaisir de la belle par des plans de plus en plus frénétiques de son visage mais aussi des réactions du personnel assistant au test. Le montage allant crescendo dans la fureur, Schuman en fait encore usage à merveille dans ce qui s'avère être la séquence la plus réussie du film : pour les besoins d'un autre test destiné à titiller leur libido, est projetée à Randy et à d'autres cobayes une tripotée (...) de séquences X en provenance de différents films hard toute époque confondue sur un fond de musique punk cradingue. Une mise en abîme intéressante et surtout un gros clin d'oeil à l'industrie du porno qui s'achève dans l'épilepsie totale (les ultimes images sont diffusées en ultra-accéléré).
A ne pas louper enfin, le final dément où Pandreck, après avoir capturée et solidement attachée Randy les cuisses écartées, tentera de lui prélever son liquide miraculeux au moyen d'un large tuyau transparent. Ouille ! J'vous rassure, elle sera sauvée de justesse par le brave Dr. Harrison, qui lui évite par la même occasion la marche en canard à vie que cela aurait pu occasionner.




Throma

...

...












  





LE LIEN ÉLECTRIQUE...



ET LE MAGASINE DE LA SEMAINE...

 


;)

Par lesamedicestpermis - Publié dans : film
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Vendredi 24 avril 5 24 /04 /Avr 06:14

 

Aucun risque de polémique avec ce film, puisque le tournage a débuté à Cannes
deux jours après le dix huitième anniversaire de Traci!

D'après l'ancien dirigeant de Scherzo, et contrairement à ce que prétend Traci Lords, le film a été intégralement produit par la Ste Scherzo Vidéo, éditeur vidéo, qui lui a intégralement payé son déplacement et ses frais à Cannes pour tourner le film. En échange des droits d'exploitation sur les États-Unis, Traci n'a pas demandé de salaire, elle s'est juste engagée à verser 1 $ par cassette vendue. Son ami de l'époque, Stewart Dell, a remis à Scherzo deux chèques 
de 10 000 $ d'acompte, qui furent impayés.

Toujours est-il que le film, ersatz de "Derrière la porte verte", il faut être honnête,
ne vaut réellement le coup d’œil que pour une (longue) scène,
celle de la rencontre lesbienne entre Traci et Marilyn Jess,
les deux stars incontournables du X de cette époque!!
Rencontre d'anthologie puisqu'il s'agit aussi, pour toutes les deux,
de l'une de leurs dernières apparitions hardesques!!





TRACI I LOVE YOU /
TRACI JE T'AIME
(Version franco/anglaise,
et version française complète)

 

États-Unis / France / 1987
Réalisation : Jean-Pierre Floran
Scénario : écrit en 48 heures par Jean-Pierre Imbrohori
Avec : Traci Lords, Marilyn Jess, Alban Ceray, Alain L'Yle, , Gabriel Pontello...






QUELQUES JOLIES PHOTOS...







"Une actrice pornographique arrive à Paris où elle reçoit d'un admirateur anonyme un collier en or gravé de son nom. Continuant son voyage, elle arrive à Cannes lors du festival et passe une audition pour un film pornographique. Là, son admirateur inconnu la fait enlever et séquestrer. Elle est alors baignée et parfumée par d'accortes servantes puis éduquée par une dominatrice qui lui enseigne à se soumettre afin de parvenir à l'orgasme le plus sublime..."



Traci fait la moue...
Traci seule à Paris...
Traci danse pour oublier...
Traci déprime...
Traci en décapotable...
Traci à Cannes...
 Traci vs Alban...
Traci est séquestrée! Pauvre Traci...
 Traci vs Marilyn...
 Le bêtisier!
Par lesamedicestpermis - Publié dans : film
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Mercredi 15 avril 3 15 /04 /Avr 11:45

 

"MIEUX VAUT UNE TÊTE BIEN FAITE QU'UNE TÊTE BIEN PLEINE..."
D'accord avec toi Michel (si vous, vous ne l'êtes pas, on aura l'occasion de philosopher un peu!). Et si en plus le corps de la prof' est bien fait aussi, bein je ne demande qu'à apprendre encore, moi! Je veux bien faire des heures de colle s'il le faut!
Vous l'aurez compris, c'est une spéciale profs cette semaine! 
Quoi de plus important que la transmission du Savoir et de l’Esprit Critique?
Le Cul? A n'en point douter!
On commencera donc cette inspection des dessous du professorat avec un film du prolifique Claude Orgel (alias Burd Tranbaree), tourné aux États-Unis, où vous pourrez (re)découvrir la très vorace Jessie St. James, et revoir Desiree Cousteau, mais aussi Georgina Spelvin dans une séquence lesbienne très... MILF POWER!
Ensuite, retour en France, et plus particulièrement dans ma Provence natale, avec un film du méconnu Robert Renzulli (alias Bob W. Sanders), dans lequel vous succomberez, peut-être, au charme de la séduisante et rare Nicole Ségaud (vue dans "La femme objet" et "Les bas de soie noire", entre autre). Et puis les magnifiques paysages provençaux! 
Du cul, oui, mais du Renzulli!

Bon apprentissage, et bon week-end à tous!
;)









UN PROGRAMME 

APPROUVÉ

PAR UNE

CLASSE DISCIPLINÉE!












 

  
LA PROF' D'ANGLAIS (1978)
 AKA Easy / La Prof


États-Unis / France / 1978
De : Anthony Spinelli (version US) et Claude Orgel (alias Burd Tranbaree) (version française)
Avec : Jessie St. James, Richard Pacheco, Bob Bernharding, Desiree Cousteau, Ronald Davis, Laurien Dominique, Georgina Spelvin, Ken Scudder, Mike Horner, Dan Howard,  Jack Wright...



SI VOUS AVEZ MANQUÉ LE DÉBUT: "La prof d'Anglais est ravissante... Elle fascine tous ses élèves : les plus entreprenants le deviennent davantage, les plus timides oublient leurs complexes. Devant nos yeux émerveillés elle réalise nos fantasmes sexuels de jeunesse. Un bain de jouvence !"

IMDb


LA PROF'... OU LES PLAISIRS DÉFENDUS (1982) 
 AKA  La prof enseigne sans préservatif
France / 1982
De : Robert Renzulli (alias Bob W. Sanders)
Avec :  Nicole Ségaud, Eric Dray, Jacques Marbœuf, Brigitte Verbecq, André Kay, Tony Valles, Hubert Ceylan, Yves Soubeyran, Claude Dernant...



SI VOUS AVEZ MANQUÉ LE DÉBUT:"Pendant les vacances d'été, Florence, jeune professeur désargentée, donne des cours privés de philosophie. Un de ses élèves, le jeune Charles Lasserre, fils d'une famille des plus aisées, brille surtout par sa turbulence. Très vite, le père comme le fils tombent sous les charmes de Florence, qui ne refuse pas les baisers du jeune homme. En revanche, elle repousse toutes les avances du père. Un jour, Florence rencontre Alexandre, accusé à tort et recherché pour viol. Une authentique passion amoureuse naît entre les jeunes gens. Lasserre père, qui se plaît à surveiller la douce Florence, surprend les deux amants. En échange de son silence, il exige sa soumission. N'ayant d'autre alternative, Florence accepte, la rage au coeur..."


IMDb

 



 

 

Par lesamedicestpermis - Publié dans : film
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Vendredi 10 avril 5 10 /04 /Avr 21:26



Amis de la poésie, ce samedi n'est pas pour vous!!
Pipi, vomi, sodomie à l'huile de vidange sont entre autre au programme de ce 
"Corps de chasse", œuvre culte de Michel Ricaud, et digne d'un Alain Payet, 
façon John Love, au sommet de son Art, 
pardon de son hard!!




LA CHRONIQUE DE TOXICAVENGER POUR PSYCHOVISION:

Prolifique pornocrate bien de chez nous, Michel Ricaud signe probablement avec Corps de chasse l'opus le plus glauque et le plus dérangeante de sa conséquente filmographie.

Émule pornographique de La traque (de Serge Leroy) sur fond de scatologie et de transsexuels, Corps de chasse accumule une petite heure durant situations nauséeuses et gros plans gerbants.
Anus lubrifié à l'huile de moteur au cours d'un viol, pénétration à l'aide d'une cartouche ou encore gros plan sur un sexe barbouillé d'excréments après une sodomie ; tout n'est que sexe sale dans Corps de chasse jusqu'au final hallucinatoire, brutal et extrême, à la croisée d'un Zebedy Colt (qui signa un film à peu près similaire avec Farmer's daughters) et d'un Tinto Brass, la théâtralité baroque en moins.
Car la mise en scène rudimentaire en décors et éclairages naturels accentue davantage encore la crudité de séquences à la base déjà très sales et répulsives, notamment cette scène donnant son titre au film dans laquelle l'un des chasseurs enfonce un corps de chasse dans le derrière d'un trans' avant d'uriner dedans.

On y retrouve André Kay, un habitué des réalisations de Ricaud aux côtés de cinq autres hardeurs et hardeuses (parfois les deux) n'ayant vraisemblablement jamais réitéré dans le métier (euh, pardon Toxicavenger, mais Jean-Pierre Armand a arrêté sa carrière il y a dix ans à peine!!). Il est à noter surtout que le jeu des trois poivrots est tout à fait correct.
Difficile voire impossible d'apprécier Corps de chasse, mais force est de reconnaître que Michel Ricaud frappe fort dans le registre du porno dégueulasse. Pour un peu qu'on soit curieux voire amateur du genre (et pourquoi pas ?) ; ne surtout pas se fier aux différentes jaquettes VHS, toutes plus ringardes et à côté de la plaque les unes que les autres.
Toxicavenger



CORPS DE CHASSE

 



France / 1982
Réalisation : Michel Ricaud
Avec : Jacques Amont, Marie Christine, André Kay, Jean-Pierre Armand, Dominique Duval, Frédérique Frogue...

PAS DE FICHE IMDB (?!!?)



SI VOUS AVEZ MANQUÉ LE DÉBUT : "Trois bons franchouillards qui ont trop festoyé et trop bu partent à la chasse. A défaut de perdreaux ou de lièvres à tirer, l'un d'entre eux se rabat sur une jeune femme embourbée en pleine forêt. Il la viole, mais elle se venge en lui tirant un coup de fusil dans les parties. Tandis qu'il n'a de cesse de la poursuivre dans les bois, ses deux compères prennent du bon temps en la charmante compagnie de deux transsexuels ramassés en chemin..."



 
Par lesamedicestpermis - Publié dans : film
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